Madoka est un petit garçon. Mais ce qu'il préfère, ce sont les peluches et les robes que lui confectionne sa soeur. Hélas, ses camarades n'ont pas toujours réussi à comprendre ses goûts et cela lui a parfois causé du tort. Aussi, quand suite à un déménagement, il se retrouve dans une nouvelle classe, il se promet de se comporter « comme un garçon ». Mais Itsuki, sa voisine de classe qui ne se sent pas très à l'aise avec ce qu'on attend des filles, remarque très vite Madoka... Et si c'était le début de leur histoire d'amitié ?
L'humour, la malice et la satire sont au coeur de ces poèmes populaires érotiques composés à la fin du dix-huitième siècle et au début du dix-neuvième siècle au Japon, pour fixer dans l'instant, à la façon d'un Boccace ou d'un La Fontaine, un travers, un mouvement d'humeur ou un jeu de mots.
La source principale d'observation est la vie sexuelle de tous les jours, celle des moines, de la vie conjugale, des courtisanes, des veuves ou des domestiques, sans oublier les espiègles pratiques des dames du palais ou de l'alcôve familiale, hommes et femmes se donnent en spectacle pour le divertissement de nos poètes indiscrets et notre plus grand plaisir.
Un original, séduit par le charme d'une ancienne maison de rendez-vous, l'achète et y fait quelques travaux.
Il découvre, en grattant le papier d'origine des cloisons coulissantes, l'existence d'un texte écrit serré. piqué par la curiosité, il se met à le déchiffrer et nous offre le récit d'une nuit passée avec une geisha. un japonais, revenu d'europe, se souvient d'une aventure amoureuse qui lui est arrivée à berlin. il confie, à la première personne, dans un journal, les aventures de ces quelques jours et des deux nuits d'amour passées avec une jeune fille allemande.
Si le secret de la petite chambre est écrit en une langue extrêmement raffinée et composé avec une grande habileté, sa haute tenue s'accompagnant d'un style délibérément archaïque, dans la fille au chapeau rouge, c'est l'observation qui prend le pas sur le style : fioriture et outrance sont écartées au profit d'une description qui se veut sans fard. ecrits au début des années vingt, interdits par la censure et publiés sous le manteau, ces récits érotiques attribués à deux écrivains majeurs de la littérature japonaise contemporaine, kafû et akutagawa, n'ont, singulièrement, pas encore paru au grand jour et sous une forme pleine et entière au japon.
Vous aimeriez savoir comment vous y prendre si vous libériez par inadvertance un démon embouteillé et vindicatif ? Ce que vous pourriez tirer d'un étrange éventail qui fait s'allonger le nez de celui qui l'utilise ? Vous brûlez de savoir pourquoi les rainettes coassent, et surtout pourquoi l'eau de mer est salée ? Ce livre est fait pour vous. Découvrez l'humour facétieux et la légèreté enchanteresse des fabulistes de Corée.
Après Le Dit de Hôgen et Le Dit de Heiji, voici le troisième volet de la grande trilogie classique du Moyen Age japonais, Le Dit des Heiké.
Il s'agit de la version épique des événements qui ont bouleversé les structures politiques et sociales du Japon dans la seconde moitié du XIIe siècle, à savoir l'intrusion dans la vie politique des deux clans guerriers des Taïra (ou Heiké) et des Minamoto (ou Genji), et de leur affrontement pour le contrôle d'un pouvoir qu'ils avaient arraché au clan aristocratique des Fujiwara, étroitement lié à la maison impériale.
Le Dit des Heiké conte l'irrésistible ascension des Heiké, leur pouvoir absolu jusqu'à la mort de Kiyomori, le soulèvement des Genji, l'écrasement définitif des Heiké et l'instauration d'un nouveau système politique, le gouvernement des shôgun de Kamakura au bénéfice de Minamoto no Yoritomo (1147-1199). Ces récits constituent la source où puiseront, à toutes les époques, les romanciers et les dramaturges.
Ils étaient à l'origine colportés par des aveugles, les "moines au biwa", qui les racontaient partout, village ou château, à travers l'archipel.
Ce livre appartient à la catégorie des ouvrages que l'on désigne sous le nom de manuels de l'oreiller ou, encore, d'images de printemps.
Ces petits volumes veulent introduire le lecteur aux arcanes de l'amour physique en enseignant par le texte et l'image. L'Aube au printemps prend comme référence les Notes de chevet de Sei Shônagon, une dame de cour du XIe siècle, en s'appliquant à les détourner. Sei tentait, à travers des énumérations, de faire jaillir la poésie du monde : " Choses qui réjouissent le coeur ", " Choses qui doivent être courtes ", etc.
L'auteur anonyme de L'Aube au printemps applique ce modèle au jeu des corps dans l'amour : " Choses dont c'est plaisir qu'elles soient de bonne taille ", " Choses passées dont on se dit : c'était si bon ! ". Son dessein est manifestement de mettre en dérision l'oeuvre qu'il parodie. Mais, à le lire, on découvrira que le schéma imposé par Sel Shônagon fonctionne aussi, et très bien, pour les effrois du coeur quand la passion s'empare des corps.
Alex Rufus, 16 ans, cherche toujours à faire de son mieux. Il s'efforce d'être un employé modèle, un petit ami parfait et surtout, un grand frère protecteur. Pourtant, il fait face à une difficulté de taille : il est sans cesse assailli de visions du futur ! Le moindre contact avec un objet suffit à déclencher une prémonition, et la pression de connaître les évènements à l'avance l'empêche de vivre dans le moment présent. À cause de cet étrange pouvoir, l'adolescent souffre d'anxiété... mais ce n'est rien à côté du choc qu'il ressent lorsqu'un flash lui révèle la tombe de son petit frère, Isaiah. Dès lors, Alex sait qu'il va perdre un membre de sa famille. Comment réagira-t-il ?
Le manga est une bande dessinée japonaise qui a fait son trou dans le monde occidental. Dans ce recueil y est conter l'histoire de cette nouvelle forme de BD.
Tam tam boum boum est une chanson traditionnelle du folklore coréen. C'est la nuit, les tambours résonnent dans la forêt profonde. Les animaux apparaissent un à un, chantant « Tam tam boum boum » et dansant la sarabande sous la lune, déguisés en facteur, catcheur, marchand de bonbons ou mineur.
Un album au rythme endiablé mais aussi diablement beau dans son traitement du noir et blanc.