Le Kyudo, appelé aussi « Voie de l'arc » ou « Zen debout », est reconnu comme le plus haut niveau des disciplines martiales. Sous l'influence de la tradition du bouddhisme Zen, il devint au fil des siècles une méthode de méditation en action, puissante et subtile, dans laquelle l'archer vise le dépassement de soi, de la cible et de l'arc, pour accéder à son être réel. En s'appliquant aux différentes phases du tir - hassetsu -, grâce à la conduite du souffle et à la concentration sur le hara, de nouvelles possibilités de libération, de maîtrise de soi et de ses énergies vont se révéler, visant l'harmonie entre le corps, le coeur et le mental.
Atteindre la cible n'est pas essentiel, on cherche à atteindre sa « cible intérieure ». En ce sens, le Kyudo contient la recherche de la paix du coeur.
Voici le cinquième volume du journal de Taïkan Jyoji qui s'étend d'avril 2016 à octobre 2018. Ce texte permet de découvrir au jour le jour, la vie d'un des plus importants maître zen contemporains. Sur le mode de l'humour, toujours léger mais profond comme sait l'être le zen, l'auteur nous livre ici l'essence de la démarche de cette pratique. Il partage avec nous ici des récits de voyages (Japon, Amorgos...), des enseignements donnés pendant les retraites (sesshins), des haïkus, des commentaires de maîtres de la lignée, des conseils à ses disciples. Peu à peu, au fil des jours, Taïkan Jyoji construit une oeuvre littéraire passionnante et unique en son genre en exposant le quotidien d'un maître zen en Occident. Cette oeuvre vaut d'être découverte autant pour sa qualité purement littéraire, que pour les précieux enseignements bouddhistes qui s'y trouvent, appliqués à notre monde moderne.
Quel était votre visage avant la naissance de vos parents ? Déconcertante, énigmatique, cette question fait partie des 1700 paradoxes ou kôans qui constituent la base du Zen Rinzaï. Instituée sous la dynastie chinoise des Song, la méditation des kôans fut mise en valeur dans l'enseignement du Ch'an pour apprendre aux étudiants à penser en dehors des schémas conceptuels. En suscitant le doute spirituel dans leur esprit, cette pratique libératrice leur permettait d'abandonner toute idée préconçue ou autre théorie dogmatique. Au-delà de leur apparente absurdité, les kôans relèvent d'un véritable art de vivre au quotidien, qui mène vers de profondes expériences d'Éveil.
Fondateur du Centre de la Falaise Verte en Ardèche où il dispense un enseignement dans la droite lignée du Zen Rinzaï, le maître Taïkan Jyoji nous donne ici quelques variations et réflexions autour de kôans célèbres, et sur la pratique de la méditation assise sans laquelle ils ne sont que lettres mortes.
« Lorsqu'on me demande pourquoi je suis entré dans un des monastères zen les plus durs du Japon, je peux répondre de plusieurs façons :
Pour trouver un sens à la vie ou pour résoudre les questions fondamentales - qui suis-je ? D'où est-ce que je viens ? Qu'est-ce que la mort ? Mais en réalité, le jour où je me suis retrouvé en bas des escaliers de Shofuku-ji, je ne savais pas pourquoi j'étais là. C'était comme ça. »
Après la publication en 2011, en 2013 et en 2014 des trois précédents tomes de son journal : Un jour, une vie parus chez Almora, Taïkan Jyoji continue ici de réjouir ses lecteurs et ses disciples avec un quatrième tome de son journal qui s'étend de janvier 2014 à avril 2016.
Ce texte permet de découvrir au jour le jour la vie d'un des plus importants maîtres zen contemporains. Sur le mode de l'humour, toujours léger mais profond comme sait l'être le zen, l'auteur nous livre ici l'essence de la démarche du zen.
Il nous livre ici des récits de voyages, des enseignements donnés pendant les seshins, des haïkus, des commentaires de maîtres de la lignée, des conseils à ses disciples.
Vivre librement tel est le but ultime de la pratique du Zen! Pour la première fois peut-être un maître zen livre le témoignage sans fard d'une vie ancrée dans la pratique du Zen, jours après jours : souvenirs d'enfance et de jeunesse, récits des années de formation au monastère de Shofoku-Ji, haïkus et poèmes d'amour, non-pensées, récits de voyages, exhortations à ses disciples pendant la terrible sesshin de Rohatsu - autant de petits cailloux déposés au long de la voie par un voyageur au pied léger et au regard doucement ironique.
Après la publication en juin 2011 de Un jour, une vie chez Almora, Taïkan Jyoji poursuit ici son journal qui permet de découvrir la vie d'un des plus importants maîtres zen contemporains.
Il nous livre ici des récits de voyages, des non-pensées, des haïkus, des poèmes d'amour, des commentaires de maîtres de la lignée, des conseils à ses disciples.
Sur le mode de l'humour, toujours léger mais profond comme sait l'être le zen, l'auteur nous livre ici l'essence de la démarche du zen.
Le journal commence le 17 juin 2009 et se termine le 9 janvier 2012.
Taïkan Jyoji nous propose ici un choix de lettres que des disciples, des curieux, des inconnus lui ont adressé au Centre de la Falaise Verte en Ardèche ainsi que ses réponses.
Sollicitant un avis sur le zen, sur une posture ou sur le satori, faisant part d'une difficulté sur la voie ou tout simplement évoquant un problème personnel, ces correspondants cherchent une solution à leurs difficultés.
En cela ils nous touchent et nous intéressent car leurs questions recoupent celles que se posent tous les chercheurs de vérité.
Les réponses de Taïkan Jyoji vont droit à l'essentiel, sont pleines d'humour et n'hésitent pas parfois à être frappantes comme un coup de bâton zen !
Par le vaste nombre de sujets traités dans ces 39 lettres et autant de réponses, l'ensemble de cette correspondance constitue un témoignage unique sur une spiritualité vivante et exigeante.
Après la publication du tome 1 en juin 2011 et du tome 2 en , Taïkan Jyoji poursuit ici son journal qui permet de découvrir la vie d'un des plus importants maîtres zen contemporains.
Il nous livre ici des récits de voyages, des non-pensées, des haïkus, des poèmes d'amour, des commentaires de maîtres de la lignée, des conseils à ses disciples.
Sur le mode de l'humour, toujours léger mais profond comme sait l'être le zen, l'auteur nous livre ici l'essence de la démarche du zen.
Le journal commence le 10 janvier 2012 et se termine le 19 février 2014.
Au coeur du Zen s'inscrit dans la grande tradition des recueils ou écrits que les maîtres lèguent à leurs disciples.
La première partie nous livre l'enseignement proprement dit de Maître Taïkan Jyoji.
Cet enseignement vise d'abord à accompagner la pratique du Zazen et du Zen dans la vie courante, et ceux engagés dans cette voie retrouveront l'exigence, les manières, abruptes d'aborder les choses, d'aller tout de suite à l'essentiel qui est le propre de l'Ecole Rinzaï. Mais les non initiés ne seront pas en reste, car l'enseignement puise souvent dans une expérience personnelle ardue et ardente, passionnante.
Enfin, on pourra saisir à quel point cet enseignement se rattache à la plus haute tradition par l'évocation de nombreuses anecdotes et propos qui se rapportent à des Maîtres anciens.
La deuxième partie comporte 30 calligraphies de Yamada Mumon Roshi (décédé en 1988) qui, avec un art consommé, à la fin de sa vie, ne s'exprimait plus qu'à travers elles. Celles-ci sont accompagnées de traduction et commentaires de Taïkan Jyoji qui fut son disciple.
Au coeur de l'Ardèche, le centre zen de la Falaise Verte, dirigé par Taïkan Jyoji, reçoit depuis quarante ans pratiquants et stagiaires, leur fournissant, outre l'enseignement, gîte et couvert.
Cuisinière du lieu pendant plus de quinze ans, Françoise Dye a rassemblé dans ce livre 108 recettes végétariennes simples et variées, nées de la nécessité de respecter l'équilibre alimentaire, de satisfaire les palais et de s'adapter aux besoins, aux moyens, aux saisons...
Au menu, légumes, légumineuses et céréales, salades, plats complets et soupes, mais aussi sauces, boissons et desserts sont proposés au fil de recettes émaillées de conseils et d'astuces, et adaptables en fonction des ingrédients à disposition. Simple et familiale, la cuisine de Françoise Dye se veut un tremplin à la créativité de ses utilisateurs.
Les « grains de sel » de maître Taïkan Jyoji qui ponctuent le livre d'interventions pleines de vie sur les thèmes du végétarisme, des produits bio, du thé... nous révèlent pour leur part de savoureuses légendes zen.